Séjour en décembre, une semaine avant Noel, dans la Big Apple, au départ de Reykjavik en Islande, féérie
Me revoilà donc à l’aéroport, après 5 jours en Islande, pour la ville de NY. Changement radical de décor, exit les paysages désertiques, place aux buildings et à 6h de vol ! Une fois arrivée à l’aéroport JFK, il faut prendre l’Air Train (navette de passage à tous les terminaux) puis la LIRR (Long Island Rail Road) pour arriver dans le centre ville. Comptez 50min et 15$.
La LIRR est un train équivalent à nos RER, qui nous fera traverser le quartier du Queens avant de nous déposer à Penn Station. A l’intérieur de la LIRR, des dizaines de fans des Rangers, l’équipe de Hockey de NY qui avait un match le soir même. En gros, nous voilà directement dans l’ambiance. Penn station est une station de métro face au Madison Square Garden, assez conséquente, où la bouffe est présente tous les 5m (odeurs de pop-corn, bretzel, chichis, hot-dog, cacahuètes, pizzas) !
Je vous laisse ci-dessous une carte que j’ai mixé, pour mieux vous repérer :
Une fois sortie de la station, on marchera à peine 10 min en direction l’appartement, à 5min de l’Empire State Building. Nous sommes logées au 38 W 31 St à Manhattan dans le Midtown, au NY Studio Plus, si certains sont intéressés, il est vraiment vraiment vraiment bien situé, à 2min de la station de métro W4 St Washington Square, où passe 2 lignes (bleue et orange). Idem qu’en Islande, en réservant à l’avance, vous aurez des tarifs très intéressants.
Pas le temps de se poser, on fonce à l’Empire State Building pour visiter la tour et avoir une vue panoramique de nuit au 86e étage. Nous sommes accueillies par des Groom vraiment sympathiques, qui tentent de parler français, et pas la même occasion de draguer légèrement (je sais désormais, où Disney et sa tour de la terreur, ont puisé leur inspiration niveau décor du site et costumes de Groom). La visite se déroule à plusieurs étages où une très belle expo interactive présente l’origine du Building, sa construction et son héritage. L’empire, connu notamment grâce à King-Kong, a été la plus haute tour du monde (381 m) pendant plus de 40 ans, et a demandé environ 9 mois seulement de construction avec 3500 ouvriers/jour, pour un budget de 25 000 000 $. L’empire a donc surplombé de quelques mètres, la building Chrysler (319 m), construit quelques mois auparavant, et qui avait, elle-même, détrônée la Tour Eiffel.
L’empire a été nommé ainsi car le surnom de la ville de NY est l’Empire State (ce qu’on peut lire sur les plaques automobiles). Il est considéré comme l’une des 7 merveilles moderne US et a été construit entre 1930 et 1931. Son sommet est éclairé selon les évènements (fête nationale, attentats de Paris, Marathon, Gaypride, journée contre le cancer du sein…), la distinguant nettement des autres buildings. Vous pouvez accéder au sommet du 102e étage en payant 20$ (de plus que le prix de base du ticket à 20$)…Mais je peux vous assurer que déjà, en étant au 86e étage, vous avez le vertige et que le vent vous emporte !

L’exposition raconte parfaitement le chantier colossal qu’a été cette construction, avec de superbes photos des « skyboy » ou encore des vidéos. 5 ouvriers trouvèrent la mort durant les 9 mois du montage incessant, et un avion le percutera en 1945, causant la mort de 14 personnes (une femme sera rescapée en tombant de 75 étages, l’inscrivant dans le livre des records). L’empire a eu l’honneur d’inaugurer, dès son ouverture, l’ascenseur le plus rapide au monde pouvant atteindre en 45 secondes, le 86e étage. Niveau déco, il est habillé de marbre et de cuivre, et comporte un plafond dans le hall d’entrée, très art déco épuré, avec des petits cercles et points creusés dans l’or et l’aluminium (il faudra 3 ans pour le rénover, soit 3 fois plus de temps que la construction du building).

Aujourd’hui, l’Empire est le 2e gratte-ciel de NY en hauteur, derrière la One World Trade (542 m) Center et le 4e des USA.
Pour info, j’avais réservé à l’avance la visite, comme toutes les autres pendant le séjour, ça évite de faire la queue ! Pour toutes les visites, ainsi que le NY City Pass (qui offre des réductions) c’est ICI.
Difficile de dormir, dû à l’excitation qui d’ailleurs m’empêchera de dormir les 4 nuits là-bas, mais également le bruit incessant de cette ville. Les New-Yorkais sont les rois du klaxon ! Ca ne cesse jamais jamais jamais ! Sans parler des tournées de bennes à ordures ménagères je ne sais combien de fois par jour, et les sirènes de pompiers ou de police. Cependant, ça ne me dérange pas, on est dans le bain ! Enfin si, au bout du 4e jour, j’en pouvais plus de ces Klaxons en journée, sans parler de l’odeur de nourriture.
Il faut savoir que ce n’est pas un cliché, les Américains mangent tout le temps, et debout ! J’avais déjà pu m’en apercevoir à San Francisco cet été, mais là, c’est flagrant. Ils ont toujours quelque chose à la main (boisson ou bretzel) et marchent sans s’arrêter. Difficile de trouver des tables pour manger ASSIS ! Chaque coin de rue (ou Bloc) est occupée par une roulotte qui change de spécialité selon l’heure de la journée : le matin, c’est vente de muffins et donuts avec café, le midi c’est vente de riz, oignon, kebab et à partir de 18h c’est Bretzel chaud à 3$. Et si vous êtes aveugle, vous avez des hommes sandwich qui vous indique la roulotte ! Vous baignez ainsi dans le bruit et les odeurs de « bouffe ».
New-York est vraiment une ville qui ne dort jamais, mais en tant que touriste, j’adore ! Je me baladais tard le soir, même seule, sans jamais être embêtée, à trouver un café/menthe à 2h du matin en cherchant désespérément le musée du sex pour monsieur No’ qui devait se trouver en pub en vitrine ! La ville connait beaucoup de SDF (Homeless) mais ils sont entre eux, ils dorment et ne vous chercheront aucun ennui…mais quelle tristesse.
Et sinon, si on faisait un tour en hélico au dessus la grosse pomme (surnom de la ville donné à l’origine par de jeunes afro-américains en quête de réussite. Puis la réussite viendra avec le jazz, et le terme de Big Apple restera comme la marque de la diversité culturelle de NY) ?
Pour cela, direction le Pier n°6, proche du départ du South Ferry pour la Statue de la Liberté. De l’hôtel j’ai pris le métro, une des seule fois d’ailleurs, NY a l’air immense mais tout Manhattan peut se faire à pattes si on est motivé. De plus, le métro est assez cher, 3$ le ticket (et pas de ticket à la journée disponible). Enfin bref, revenons-en à l’hélico. J’ai fait le tour de 20 min, comptez environ 150$ avec l’assurance de 30$ qui est demandée sur place. C’est un budget, je le concède, mais ce sera une fois dans ma vie. Le soleil est présent, le ciel bleu azur, toutes les conditions sont réunies pour s’envoyer en l’air comme il faut ! La vue de l’héliport est somptueuse avec l’eau et le pont Brooklyn en face.
Nous sommes 6 dans l’hélico, casque sur les oreilles qui nous diffusera, entre les commentaires du pilote, du U2 et du Lisa Minelli. La vue est incroyable, en 20 min (qui m’ont parues 5 min), on passe tout près de la Statue de la liberté puis au dessus de tous ces buildings. Le découpage de la ville est incroyable vue d’en haut.
Je vous laisse ci-dessous mes 2 premières minutes de vol :
Autant profiter de cette belle journée et foncer au South Ferry pour aller dire bonjour à madame Liberté. Je vous conseille de prendre vos tickets sur le site de la compagnie officielle, ou sur place, toujours aux guichets de la compagnie officielle (la même compagnie d’ailleurs qui nous avait emmenée à l’Alcatraz).
Niveau visite, plusieurs choix s’offrent à vous. Pour tous les tickets, vous aurez l’accès au Ferry, à l’arrêt sur Liberty Island et l’arrêt sur Ellis Island (musée de l’immigration). La différence de prix se fera au niveau d’accès dans la statue de la liberté : 18$, accès au piédestal, 21$, accès à la couronne. J’avais pris le ticket à 18$ car plus de place pour l’accès à la couronne, très prisée. Prenez-vous y en avance !
Un départ de Ferry a lieu toutes les 20 minutes environ pour l’aller, et toutes les 40 min environ pour le retour. Je ne me suis pas arrêtée sur Ellis Island, car les journées étaient très chargées, mais j’ai pris mon temps sur Liberty Island. La vue est imprenable sur la baie de Manhattan. On y apprend que la torche tenue par la Statue n’est pas celle d’origine (qui est, elle, exposée avant de monter les escaliers. Le bras fut endommagé en 1916 suite à une explosion de l’armée Allemande sur l’île) et que Gustave Eiffel a participé au projet.
La statue a été offerte par la France (et construite en France avant d’être assemblée sur place) pour symboliser les 100 ans de l’indépendance des USA, en 1886. Elle mesure 93 m de haut de sa base jusqu’en haut de la torche (la statue seule mesure 50 m). Elle était le premier repère des migrants lorsqu’ils arrivaient par l’Océan, d’où son nom de « liberté éclairant le monde ». La Statue fait face à l’océan Atlantique et à la France, là où demeure sa réplique officielle.
Petite anecdote : le jour de son inauguration, l’entreprise Gaget-Gauthier a été chargée de distribuer aux invités, une statue miniature, ainsi, tous les invités se demandaient les uns aux autres « have you got your Gaget » ce qui est s’est transformé en « gadget » dans la langue française.
Brooklyn Bridge, LE pont ! J’ai bien galéré à trouver l’entrée de ce pont, car j’ai longé la côte jusqu’à arriver en dessous, mais hélas, il fallait remonter dans la ville pour accéder à son entrée. Après un gros détour, il a fallu se résigner à prendre le métro pour arriver directement de l’autre côté, à Brooklyn, dans le quartier DUMBO (pas grave, on le retraversera de l’autre côté).
Il est l’un des plus vieux pond suspendu et certainement le plus connu, long de 2 km (à peine). Son architecte mourra sur le chantier (gangrène dit à une chute sur le pied), quelques jours après sa construction, ainsi que 24 autres personnes. La construction fut confiée à son fils, qui lui aussi décèdera sur le chantier…Les nombreuses morts ont été provoquées par des accidents de décompression dû au système même de travail de construction appelé Triger (système permettant aux ouvriers de travailler au sec, en vidant l’air d’un caisson submergé de béton).
Le pont possède un coté piétons et un côté voitures. Ses très nombreux câbles ont fait de lui une œuvre architecturale très prisée des visiteurs, qui offre une très belle vue sur le pont de Manhattan.
Le quartier DUMBO (Down Under The Manhattan Bridge Overpass) est assez mignon, pour ceux qui aiment les architectures type « manufacture ». La majorité des usines ont fermé et les bâtisses sont devenues des résidences. Vous trouverez deux parcs, aux pieds du Brooklyn bridge, offrant la célèbre Skyline (ligne d’horizon) sur la baie de NY.
De retour sur Manhattan, cap sur Broadway et Time Square. L’avenue de Broadway est très longue et ne respecte pas le quadrillage parfait de la ville. Elle fait une sorte de diagonale, où sa partie la plus connue (et piétonne), célèbre pour ses cabarets, se situe entre la 39e et 52e rue, et où le paroxysme des lumières se situe au niveau de Time Square (42e St, au bout de la 7e avenue).
Time Square était l’ancien QG du New-York Times, d’où son nom. Cette place est le carrefour des théâtres, des grands magasins et des panneaux publicitaires, qui illuminent la ville jour et nuit. Une Loi a même été écrite, obligeant chaque propriétaire d’une enseigne sur Time Square, à afficher un panneau lumineux ! Le nouvel an New-Yorkais est célébré sur cette place.
Dans ce petit rond point des marques, vous trouverez le magasin Levi’s…sait-on jamais si ça vous intéresse, pour ma part, 3 jeans Levi’s pour 145$ !
Un autre building qui vaut vraiment le détour, et tout aussi célèbre : le Flatiron Building (fer à repasser). Il se situe à l’intersection de la 5e avenue et de Broadway, mais au niveau de la 22e rue, proche du Madison Square, limite du Downtown et Midtown.
C’est d’ailleurs au Madison Square que vous pourrez manger au Shake Shack original (parait-il, les meilleurs Hamburgers et frites de la ville. J’ai testé, je n’en suis pas ressortie émerveillée).
Et sinon, qu’en est-il de la fameuse 5e avenue ? La Fifth Avenue démarre à Central Park (j’en ferai un petit bout du park, côté sud avec ses écureuils) et descend en bas du Midtown, au Washinghton Square (proche de l’appartement si vous suivez). Elle est l’équivalent je dirais des Champs Elysées à Paris. Les décorations de Noël ornent les vitrines des grands magasins de luxe, on y croise évidemment l’Empire State Building mais également la Cathédrale St Patrick (où j’aurais l’occasion d’entendre une chorale d’enfants), et le célèbre Rockefeller Center et ses 19 bâtiments.
Le Rockefeller Center ! J’avoue, j’avais un rêve de gamine, me retrouver un jour devant la patinoire et le sapin géant du Rockefeller et son Prométhée doré (maman j’ai raté l’avion m’a trop bercé ?). Voilà la raison qui m’a poussée à aller à NY une semaine avant noël…inutile de vous dire ce que j’ai ressenti quand je m’y suis trouvée ! Je n’y ai pas cru, moi, à NY, ici, face à ce sapin. J’aurais voulu tester la patinoire, mais comptez 36$ l’accès et environ 2h de queue…Face au sapin, une allée avec des anges dorées portant des trompettes, surplombent un parterre rouge et blanc scintillant. Toutes les 20 minutes, un show de son et lumières a lieu sur la face principale de l’édifice qui fait face au sapin.
L’illumination du sapin, sur la Rockeffeler Plaza, est une véritable institution. Elle est regardée par les USA tout entier, en direct sur NBC, accompagnée souvent d’un concert et de la présence du Président. Il mesure 27 m de hauteur, avec 8 km de guirlandes électriques et 30 000 ampoules…
Le Rockfeller Center multiplie les statues art-déco (l’Atlas, Prométhée), les fresques murales, les sculptures… et possède une incroyable vie souterraine peuplée de nombreux restaurants (sans chaises !) et de la billeterie pour le Top Of The Rock.
Me voilà donc au Top Of The Rock. Ce nom barbare désigne simplement le nom de la terrasse panoramique au sommet de la GE Building (une composante du Rockefeller Center). Comptez 20$ (idem, réservez vos billets à l’avance sur internet avant de venir, ça vous évite de faire la queue) pour monter à l’aide d’un ascenseur qui a un plafond transparent, sur lequel sera retransmis l’histoire du building (et vous verrez surtout les étages du dessus arriver à toute vitesse). En effet, le GE Building abrite les bureaux de la NBC et de tout un tas de Talk show connus outre Atlantique, à savoir les Jimmy Fallon ou les Saturday Night Live. Je vous conseille la visite à la limite du coucher du soleil, le spectacle est de toute beauté, avec l’Empire pile devant vous. On y voit très bien la Cathédrale St Patrick en se penchant un peu et tout un tas de détails qu’on ne peut pas distinguer du haut de l’Empire.
Changement de décor ? Plus ou moins ! Me voilà au Bryant Park qui accueille son village de noel avec…son sapin…et sa patinoire (et ses macarons violets au beurre de cacahuète). Le Bryant Park se situe derrière la grande bibliothèque de la ville, plus connue sous le nom de New-York Public Library. C’est une obligation, il faut y entrer ! L’accès principal est donc du côté de la 5e avenue, à l’angle de la Library Way. Cette dernière offre son propre Walk Of Fame, mais pas avec des étoiles comme à L.A, mais avec des écrits dans des plaques en fonte.
La bibliothèque propose deux gros lions de chaque côté, à la base de son escalier. Une fois à l’intérieur, un superbe sapin au centre (un de plus). Je suis montée au dernier étage qui offre une coupole en bois magnifique et une salle de lecture, tout droit sortie des contes féériques. La NYPL est la 2e plus grande biblio du pays avec environ 55 millions d’œuvres littéraires. Elle a servi de décor aux films Le Jour d’Après, Ghostbuster, Oblivion et le 2e chapitre de la Planète des Singes.
Au niveau de Bryant Park, un building se distingue des autres, c’est l’American Radiator Building, entièrement noir, symbolisant le charbon, surplombée de dorures qui sont illuminées le soir. Aujourd’hui, le gratte-ciel est un « simple » hôtel.
Si vous continuez dans le coin du Bryant Park, vous arriverez enfin au MoMA (Muséum of Modern Art) ! Je voulais vraiment faire ce musée, même si j’ai du faire des choix une fois à l’intérieur, tellement il est fourni (mais moins que le Louvre, faut pas déconner non plus !). Ma cousine, quant à elle, fera le musée d’histoires naturelles.
Le MoMA est réputé pour ses collections d’œuvres contemporaines, ainsi que son étage dédié à la photographie. Vous y trouverez des Calder, Basquiat, Pollock, Picasso, Miro, Kahlo, Van Gogh, Matisse, Magritte, Mondrian, Dali, Cézanne…. Comptez 25$ l’entrée (20$ avec le NY City Pass, couplé à la visite du Top Of The Rock).
Opopop on continue la visite, cap à l’est cette fois, mais toujours dans le Midtown, pour une véritable merveille : le Grand Central Terminal (au niveau de la 42e rue proche 3e avenue). Cette grande gare donne une vue à l’entrée sur la Chrysler. Une fois à l’intérieur, 3 niveaux : un souterrain avec des boutiques et des restaurants, un à l’étage avec l’arrivée des trains, et le dernier avec une vue imprenable sur le hall d’attente et sa célèbre horloge.
La gare relie plusieurs comtés de l’état de NY et abrite aussi une station de métro. Cet endroit a été rendu célèbre grâce à de nombreux films comme Armageddon, Le Jour d’Après, La Mort aux Trousses, Je Suis une Légende… je vous conseille vraiment d’y aller, c’est magnifique.
Toujours à l’est mais en redescendant vers le sud, vous tombez sur les quartiers de Little Italy et Chinatown (les 2 sont collés). Le quartier de Little Italy est très mignon, très décoré pour les fêtes de noël avec du Street-art, des marchands de glace, des fans d’Al Pacino… Il y a une boutique « Christmas NY » comme un peu partout dans NY mais je m’y suis arrêtée et fait comme la plupart des New-Yorkais : acheter une décoration de noël à personnaliser sur place.
De retour dans l’ouest (West / W) mais toujours au sud, c’est le moment de faire un tour au mémorial des attentats du 11/9/2011. La One World Trade Center, haute de 540 m et au budget de 4 milliards $ a été achevée en 2013. Elle est la 6e plus haute tour du monde et la plus haute des USA. A sa base, le mémorial…comment expliquer, je ne m’attendais pas à ça, mais je trouve ce mémorial de toute beauté à la fois dans sa sobriété mais surtout dans le symbole parfaitement représenté : à la place des tours détruites, une fosse où coule de l’eau sans interruption, plonge dans une seconde fosse dont on ne peut pas voir le fond, ce qui créé une notion d’infinie. Tout autour de la fosse principale, sont gravé les noms des victimes.
Après tout ça, il fallait bien se restaurer un peu…j’ai gouté aux Bretzels, pas mauvais mais trop salé. J’ai gouté aux café-menthe et choco-menthe des Dunkie’s, une tuerie ! J’ai gouté aux Cheesecake de Eileen’s (award des meilleurs cheesecake du pays, son site est ICI), je ne les ai pas trouvés exceptionnels mais finalement, peut-être que le vrai cheesecake (je rappelle que la ville d’origine de cette patisserie est NY) a réellement ce gout là, ou du moins cette texture beaucoup moins « beurré » et « pâteuse » que ceux que j’ai pu gouter auparavant. J’ai gouté à un Hamburger du Shake Shack (sans plus) et le reste ce fut salade. On faisait à peu près un repas par jour tellement qu’on voulait visiter tous les recoins !
Niveau cliché, j’ai adoré voir la fumée du Subway sortir des bouches d’égout et entendre dans tous les magasins, du Elvis Presley, Roy Orbison, Franck Sinatra ou encore Johnny Cash. Merrry Christmas !
Sinon, j’ai oublié un grand moment de ce séjour, le match de NBA au Madison Square Garden !! Pour tous les détails sur cette soirée incroyable, c’est ICI, j’en ai fait un article à part entière !
Magnifiques photos !
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Super article ! Tres bien fait
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